Henri Bedimo : "Après Marseille, on pourra voir où nous en sommes"

Joueur expérimenté, Henri Bedimo été sacré champion avec Montpellier en 2012 au nez et à la barbe du PSG de Carlos Ancelotti. L'international camerounais s'est confié à 20 minutes sur sa saison avec l'Olympique lyonnais et sur cette fin de saison qui s'annonce palpitante.

A n'en pas douter, Henri Bedimo aimerait ajouter un trophée à son palmarès. Vainqueur du championnat de France avec Montpellier en 2012, le défenseur dresse un parallèle entre son ancienne équipe et l'Olympique lyonnais : " On était capable [Avec Montpellier] d'imposer un rythme de malade à l'adversaire mais aussi de se recroqueviller et de faire bloc pour gagner des matchs 1-0. Pour être champion, il faut avoir ces deux visages. Nous sommes trop joueurs à l'OL. On ne pense qu'à avoir la possession de balle et à attaquer pour chercher à gagner 2-0 ou 3-0."

Actuellement leader du championnat l'Olympique lyonnais ne peut pas se cacher pourtant, l'international camerounais refuse de parler du titre à onze journées de la fin du championnat : "Non, sincèrement, c'est trop tôt. Il y a trois semaines, tout le monde nous encensait et là ça a changé en deux matchs. Après Marseille, on pourra voir où nous en sommes."

Retrouvez l'intégralité de l'interview ici

3 commentaires
  1. Avatar
    Paul - mer 4 Mar 15 à 21 h 25

    C'est dans la culture du club, a part sous puel on a jamais su défendre comme monaco..

  2. Avatar
    ol-91 - mer 4 Mar 15 à 22 h 32

    Bien sûr. On sait que Girard ferme la boutique. Et nos joueurs oublient toujours que ce n'est pas forcément Marseille qui est un gros match mais aussi le milieu de tableau.

  3. Altheos
    Altheos - jeu 5 Mar 15 à 16 h 51

    Quand on voit la 2eme mi-temps du LOSC, et même si l'OL n'est pas vraiment revenu des vestiaires pour citer Bedimo justement, il est quand même juste de constater que c'est une équipe qui sait attaquer, parce que OK, on s'est laissé marcher sur la tête, mais ils ont proposé quelque chose de juste énorme.
    Mais je te rejoints sur ton analyse : pour être champion, l'important c'est de gagner contre les équipes au potentiel plus faible, et non contre un concurrent direct comme l'OM.

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