Dans une entrevue avec City Magazine, l'ancien joueur de l'OL, Rayan Cherki, s'est confié sur ses inspirations footballistiques.
Rayan Cherki restera un enfant du club. Né dans le Rhône, il a connu toutes les catégories d'âge à l'OL avant d'être lancé dans le grand bain en Ligue 1. Il avait alors seulement 16 ans et 2 mois, le samedi 19 octobre 2019 face au DFCO (0-0). La suite appartient à l'histoire du club rhodanien. Au total, il a marqué 29 buts et délivré 45 passes décisives en 185 matchs sous la tunique blanche. La saison passée, il a terminé meilleur passeur de Ligue 1 (11) et de Ligue Europa (8).
Par ailleurs, il a connu ses deux premières sélections en équipe de France en Ligue des Nations contre l'Espagne et l'Allemagne : un but et une passe décisive. Puis, le joueur de 21 ans a posé ses valises à Manchester City. Il a directement participé au Mondial des clubs avec les Cityzens (quatre rencontres, une réalisation et une offrande). En outre, le meneur de jeu a tenu à revoir ses anciens coéquipiers à l'OL récemment.
"C'est mon père qui m'a tout appris"
Dans un entretien accordé à City Magazine, Rayan Cherki s'est exprimé au sujet de l'origine de sa passion pour le ballon rond. "J’ai appris à jouer au football dans la rue, dans les quartiers, sur le béton. Donc, naturellement, c’est ancré en moi, et ça ne changera jamais. Ça apporte un style différent. On sait que ce genre de joueurs devient rare aujourd’hui. C’est pourquoi ce style doit être préservé, affiné et amélioré chaque jour. Ce n’est pas une partie de mon ADN… c’est mon ADN", a-t-il déclaré.
"C’est mon père qui m’a tout appris, donc je dirais que les bases viennent de lui. C’est lui mon inspiration. Il m’a appris ce que signifient vraiment la résilience et la détermination. Ce qu’il faut pour viser le plus haut niveau. Tout vient de lui, et de personne d’autre", a-t-il ajouté.
"Je veux faire plaisir au public"
De plus, le joueur formé à l'OL a évoqué sa façon de voir le football d'aujourd'hui. "Mon style est simple : j’aime jouer avec le ballon, faire des gestes techniques et aider mes coéquipiers. Je suis là pour rendre les gens heureux, et c’est très important pour moi. J’aime dribbler et jouer avec joie. On peut le ressentir à chaque match. Je donne tout pour l’équipe et j’essaie de faire plaisir à mes coéquipiers et aux spectateurs", a conclu Rayan Cherki.
Eh oui, mon Rayan, comme la plupart des joueurs avant ! Pros, comme amateurs et pratiquement tous les gamins de la terre en y ajoutant le sable de la plage pour les« crianças » !
La redemption de Rayan restera un moment marquant gravé dans l'histoire de cette (triste) saison. Avec la renaissance de Coco et l'hommage pour Alex.
En espérant que son travail sous Pep lui permette de garder sa fraicheur et son discours dans ce foot asceptisé.
En parlant de nos gones j'ai quand même de la peine pour Max qui au final est parti par la petite porte, moins pour Antho qui aurait pu partir par la grande mais n'a pas voulu (pas taper siouplait).
HS. Lille de B. Génésio joue à l'extérieur contre le Côme de C. Fabregas, avec Maxence Caqueret, sur BFM Lille, je suis tombée dessus par hasard, j'ai surtout reconnu Maxence .
Tiens il me semblait que Côme était attaqué pour son coach Fabregas, me souvient m'être fait la reflexion que c'était dur pour Max et que la porte de sortie de Nema s'envolait... Tant mieux s'il reste à Côme.
Moi aussi
Il y avait un mur et parfois si on tapait trop haut le ballon atterissait dans la gamelle de soupe au 1er étage 😁 mais ça seul ceux qui ont vécu en cité peuvent le savoir...
Je suis né dans la ville
Où les murs sont toujours gris
Derrière un terrain vague
Où se trouvent les taudis
Dans un berceau de fer
Je devais grandir
Ne vous étonnez pas
Si je ne sais pas sourire
Parce que je suis né dans la rue
Oh oui, je suis né dans la rue
Dans la rue