OL : Baptiste Couilloud, ce fidèle supporter

Baptiste Couilloud, demi de mêlée du Lou rugby, s'est exprimé pour les médias de l'OL. Le joueur, âgé de 22 ans, partage une autre passion que celle du ballon ovale : le football et l'OL.

Originaire de Lyon, Baptiste Couilloud évolue au LOU depuis 2015. Cet espoir du rugby français a évoqué son intérêt pour l'OL aux médias du club comme il l'avait déjà révélé, en 2019, sur le plateau de "Tant qu'il y aura des Gones" (voir vidéo).

Né en 1992, il était âgé de neuf ans lorsque l'équipe de Jacques Santini a ramené le premier titre de champion de France au club. "Comme tous les petits Gones des années 2000, j’ai pu assister de près et de loin aux victoires et aux différents trophées de l’OL. Mon attachement vient de là. Depuis, je suis resté fan du club, avoue-t-il. Je vais régulièrement au Groupama Stadium pour assister aux matches. Je suis supporter. Je ne vis pas les matches dans les virages, en hurlant tout le temps même si je le fais de temps en temps."

"Celui qui m’a le plus marqué est le 5-0 dans le derby"

Deux rencontres lui restent en mémoire lors de cette décennie lyonnaise. "Je me rappelle du match face au Real Madrid avec une victoire 3 à 0 en Champions League en 2005. Ce match m’a sacrément marqué. J’étais devant ma TV chez mes grands-parents, se souvient-il." Il poursuit en fouillant dans ses souvenirs. "Mais en réalité, celui qui m’a le plus marqué est le 5-0 dans le derby. Je suis allé à Saint-Etienne. J’ai fait le déplacement avec trois autres joueurs, Frédéric Michalak, Thibaut Regard et Félix Lambey, précise-t-il. On était en tribunes, on avait tous mis nos maillots de l’OL. Bon on les avait mis sous la veste. C’était vraiment incroyable.

"Il avait une allure de robot"

Au niveau des joueurs, Baptiste Couilloud garde un bon souvenir d'un international suédois, passé au club de 2006 à 2012. "Il y a forcément Juninho parce que c’était la classe. Mais celui que j’ai aussi adoré, c’est Kim Källström. J’étais fan de ce joueur, affirme-t-il. Je ne sais pas pourquoi. Il avait une allure de robot. J’adorais son style de jeu, on ne l’entendait jamais trop."

Il espère, un jour, que l'OL ira sur le toit de l'Europe. "Je pense que tout le monde a la même réponse, c’est de remporter la Champions League… J’aimerai bien aussi qu’il nous prête 60 000 supporters pour certains matches du LOU. C’est possible ça ?"

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