OL : Jordan Ferri : "A Lyon, les gens ne sont pas oppressants"

Dans les colonnes de Lyon Capitale, mensuel daté de mars 2016, Jordan Ferri se dit très en phase avec son statut à l'OL.

Dans une longue interview dans le magazine Lyon Capitale (mars 2016), Jordan Ferri aborde de nombreux sujets dont son statut au sein de l'équipe lyonnaise. Le milieu de terrain confie ne pas être à la recherche des projecteurs. "Ça me va très bien, assure-t-il. Je le vis bien, parce qu’être mis en lumière constamment met une pression supplémentaire. Après, je ne dis pas que je ne pourrais pas la gérer, mais je le vis bien." Et de poursuivre : "Je peux me balader en ville tranquillement, aller au cinéma. Mais ce qui est bien à Lyon c’est que les gens ne sont pas oppressants, il n’y a pas de clash comme il peut y avoir dans d’autres clubs."

"Nos supporters savent respecter nos vies privées"

Le natif de Cavaillon a conscience que les joueurs de l'OL ne sont pas dérangés par les Lyonnais. "Je connais un peu Marseille et je sais que c’est une mentalité différente, confie Jordan Ferri. Il y a une ferveur qui est beaucoup plus forte, mais à Lyon ce qui est fort appréciable, c’est que nos supporters savent respecter nos vies privées."

Entretien de Jordan Ferri à lire dans Lyon Capitale, en kiosques et sur la boutique en ligne. 
9 commentaires
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    Alain Vargnieu - mar 1 Mar 16 à 15 h 28

    on vous respecte alors faites en autant....

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    Minolt - mar 1 Mar 16 à 15 h 44

    "Je connais un peu Marseille et je sais que c’est une mentalité différente, confie Jordan Ferri. Il y a une ferveur qui est beaucoup plus forte". Je ne dirais pas plus forte, je dirais plus large et irresponsable. 😀

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    Sylvestre - mar 1 Mar 16 à 21 h 12

    Je me rappelle avoir croisé Delgado sur les quais du Rhône. Il promenait sa fille, il était habillé comme tout le monde. Il a vu ma mâchoire tomber (j'adorais ce type...) il m'a souris poliment, j'ai compris qu'il avait juste envie d'être tranquille en famille. Je lui ai renvoyé son sourire, j'ai eu l'impression d'être ultra complice avec lui, le temps d'une seconde... c'est sûrement débile, mais ça m'a suffit et j'en garde un souvenir émerveillé 🙂 peut-être même plus que si je m'étais jeté sur lui à la monde marseillaise

  4. Balley
    Balley - mer 2 Mar 16 à 4 h 51

    Alain Vargnieu, il me semble que Ferri a toujours mouillé le maillot, même dans les mauvaises périodes. Tu te sert d'une bonne parole pour y en balancer une mauvaise au visage. Pas respectueux ça...

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    kaskiwOL - mer 2 Mar 16 à 9 h 36

    Les joueurs de l'OL doivent suivre la voie-Ferri

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    Slaimer - mer 2 Mar 16 à 10 h 01

    Il a raison, après je dirais que c'est juste qu'entre les deux villes les gens ne vivent pas la ferveur de la même façon.
    J'aime pas les clichés mais on va dire qu'à Lyon, il y a beaucoup plus de respect.

    1. OLVictory
      OLVictory - mer 2 Mar 16 à 12 h 07

      On est tous français, mais quand on est marseillais ou lyonnais, certaines choses ne sont vues de la même façon.
      Les cultures ne sont pas du tout les mêmes, les relations sociales qui en découlent non plus.
      Par exemple chez nous si on adresse la parole à une personne que l'on ne connait pas dans la file d'un magasin ou dans un ascenseur, on peut être considéré comme trop familier, un peu intrusif ou un peu dérangeant. A Marseille si on n'adresse pas la parole à un inconnu dans ce genre de situation, on est considéré comme très impoli. Chez eux c'est même le comble de l'impolitesse de ne pas parler dans ce cas.
      Si on réfléchit comme eux, c'est pas respectueux de regarder quelqu'un de connu, de lui faire un petit sourire et de ne rien dire. Chez nous c'est l'inverse.

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        Slaimer - mer 2 Mar 16 à 14 h 08

        J'ai vécu dans les deux villes, pas longtemps à Marseille mais je l'ai pas du tout ressentis comme cela pour la file d'attente ou l'ascenseur. Justement il y a plus de nervosité là bas. Enfin tout dépend du lieu.

      2. OLVictory
        OLVictory - mer 2 Mar 16 à 14 h 13

        Je te parle de la génération que je connais, ce que c'est devenu je t'avoue que je n'en sais plus rien. Je ne veux plus trop le savoir d'ailleurs.

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