OL : le "contrat de merde" de Ben Arfa

Pour pointer du doigt la mentalité des jeunes footballeurs, l'ancien agent d'Hatem Ben Arfa, Frédéric Guerra, a dévoilé une anecdote qui en dit long sur l'attitude de certains footeux. "Cette génération a tout eu sauf l'éducation. Ce sont des compétiteurs, mais en tout : ego, argent, conneries. Quand Hatem a signé à Lyon son premier contrat pro pour 70 000 euros par mois et 600 000 euros à la signature, il est sorti du bureau en me disant : "Tu m'as fait signer un contrat de merde", a-t-il expliqué dans les colonnes de l'Equipe.

6 commentaires
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    scorpion - ven 28 Fév 14 à 18 h 41

    Bof le contrat était en fonction de son "caractère de merde"

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    coco49 - ven 28 Fév 14 à 18 h 43

    mon dieu !! de l'or potentiel ds les pieds et un cerveau en toc !! Et il est un exemple parmi d'autres !

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    carbonnier - ven 28 Fév 14 à 19 h 30

    j'ai publié un message sur le sujet de Benzia, il y a udeux heures!!! Et bien une autre preuve de ce que j'avance. Ces nouvelles générations doivent absolument s'acheter un cerveau. Il en va de la pérénité de ce sport et de leur crédibilité...et dieu sait comme j'aime le foot, mais ces jeunes français, en particulier, sont honteux!

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    Mercator - ven 28 Fév 14 à 19 h 55

    Encore un bel exemple de l'apogée des valeurs humaines et morales dans le foot business. Il est sûrement le seul à être comme ça (ironie).

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    Sony07 - sam 1 Mar 14 à 12 h 21

    On savait depuis longtemps que ce n'était pas un prix nobel, et si un jour je devais me désintéresser du foot ce sera à cause de personnes comme lui, comme Anelka et bien d'autres.
    Il me semble que Benzia serait un peu du même moule ?

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    dada - sam 1 Mar 14 à 12 h 43

    tout le monde est star de nos jours, c'est ça le problème, mais les supporters sont aussi un brin fautif d'idolâtrer trop rapidement les jeunes.
    qu'ils soient bon, ok, mais arrêtons d'en faire des cracks trop vite, ça ne leur rend pas service ni aux clubs qui les emploient, les médias font parfois aussi le lit de cet état d'esprit, sans parler des clubs de formation qui sont parfois aussi coincé entre talent et formation de la personnalité face aux familles ou autres entourage qui mettent la pression.

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