La bavure Mensah

John Mensah est revenu sur les conditions de son arrestation par les forces de l'ordre et du véritable délit de faciès dont il a été victime: On ne m'a même pas demandé mes papiers. Je n'étais pas en situation d'excès de vitesse, ni rien d'autre. Je rentrais à mon hôtel pour manger. Les policiers m'ont arrêté et m'ont alors demandé de sortir de ma voiture. Je ne comprenais pas. Ils m'ont traîté comme un criminel avant de me placer en garde puis de me libérer. Depuis que je suis en France c'est le pire moment de ma vie. Les policiers qui pensaient que j'avais volé mon véhicule, se sont excusés aussi bien auprès de moi qu'auprès du président Aulas. IL a ensuite ajouté, qu' en tant que chrétien je suis supposé pardonner. C'est ce que j'ai fait même si c'est dur. Toute la confiance et la concentration que j'avais accumulées s'étaient envolées avant le match de la Fiorentina. Je ne pouvais pas jouer. Même face au Havre samedi dernier, je ne me sentais pas spécialement bien. Au début, j'avais envie de porter plainte. Mais le club et mon conseiller m'ont incité à ne pas le faire.
C'est pas à Baros que cela serait arrivé...

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