Pris en grippe par le public de Marseille, lors de son retour au Vélodrome avec l’Olympique lyonnais (1-1), Mathieu Valbuena a passé une mauvaise soirée. Son père est choqué.
Une poupée à l'effigie de Mathieu Valbuena pendue à une potence, des sifflets, des projectiles, des gestes musclés de la part des joueurs de Marseille, l'international français a vécu une soirée difficile dimanche soir pour son retour à Marseille avec l’OL. Sur RTL, Carlos Valbuena, le père de Mathieu, a assuré lundi soir sur RTL que son fils n’était pas choqué. C'est surtout nous qui sommes choqués. Lui, il est armé. C'est pour nous qu'il est un peu plus peiné. Il ne voit pas tout ça, sinon il n'aurait pas fait ce match. Le principal c'est ça, c’est la vérité du terrain…».
Le père du milieu offensif lyonnais a ensuite taclé l’OM et la sécurité du Vélodrome. "Il y a une responsabilité du club de l'OM Chaque fois que je vais dans des stades (en Europe et dans le monde), je suis fouillé. Je ne peux même pas passer une bouteille d'eau avec le capuchon... Quand je vois ce qui s'est passé à Marseille, je ne comprends pas", a-t-il affirmé.
Les médias en font des caisses sur la poupée dans les tribunes mais il faut pas abuser, ça s'est déjà vu auparavant même si je trouve ça stupide.. d'en voir certains faire les vierges effarouchées sur ça.
Le plus important c'est surtout les jets d'objets, c'est sur ça qu'il faut travailler.
Peut-être que dans cette affaire il faut distinguer deux échelles de valeur. Ce qui est choquant et ce qui est condamnable. Les deux attitudes sont aussi graves et chocantes, mais d'un point de vue condamnation entre souhaiter la mort et le passage à l'acte, il y a différence d'un point de vue juridique. Les bouteilles c'est l'accoutumance qui nous le fait relativiser alors que le pendu est une symbolique plus brutale. En tout cas, si ces supps marseillais voulaient passer pour des abrutis, ils ont réussis leur com.
Les supporters marseillais ont tablé d'abord sur l'émotion, avec un fort niveau de provocation dans leur forme de rejet anti-Valbuena. Ils ont allumé la mèche. Dès lors, plus rien ne pouvait arrêter les gestes condamnables de quelques excités. Mais au bilan, les provocateurs ont aussi leur part de responsabilité. Le problème est que bien sûr ils la nient, leur Président en tête qui évoque l'arbitre comme fauteur de troubles. Donc, un jour ou un autre, tout va recommencer au stade vélodrome, c'est quasiment automatique.
Quel est le pourcentage de Bengous chez supporters Marseillais, 70, 80, 90% ?
Ouestkon va....Au drame !
Keskon fait.....N'importe quoi !