Jean-Michel Aulas entouré par la presse pour son dernier match avec l'OL
Jean-Michel Aulas entouré par la presse pour son dernier match avec l’OL (crédit : Damien LG / OL)

Aulas (OL) est déjà tourné vers ses nouveaux projets

Devant définitivement tourner la page OL depuis samedi soir, Jean-Michel Aulas ne va pas rester les bras croisés. Le président d’honneur lyonnais va s’attacher à la montée en puissance du football féminin en France.

Il l’a avoué lui-même, c’est un "programme chargé" qui l’attend dès ce dimanche. Les larmes à peine séchées suite à l'hommage du Parc OL, Jean-Michel Aulas va désormais s’atteler à ses nouvelles occupations. Après avoir consacré 36 ans de sa vie à l’OL, il doit aujourd’hui penser à autre chose. Mais ne comptez pas sur Aulas pour rester les bras croisés à attendre le week-end et les matchs de l’OL à la télévision. L’agenda sera bel et bien toujours aussi chargé et les semaines toutes aussi intenses qu’avant. "Je ne suis quelqu’un qui va rester inactif, que ce soit dans ma vie d’entrepreneur ou dans le fait de prendre en mains la destinée du football féminin."

"Une remise à niveau organisationnelle"

C’est bien sur ce nouveau terrain que Jean-Michel Aulas est le plus attendu. Pionnier dans le développement du football féminin en France, il a en partie construit sa présidence à l’OL avec l’essor de la section féminine et les 36 titres glanés depuis 2004. Désigné comme le possible président de la future ligue professionnel du foot féminin en France, Jean-Michel Aulas va avoir du pain sur la planche.

"On a déjà fait beaucoup puisqu’on a réformé le football professionnel avec une remise à niveau organisationnel. Les joueuses vont avoir un statut de professionnel, ce qui n’était pas le cas avant. Il y aura des play-offs dès la saison prochaine. Les garçons s’en inspireront peut-être prochainement. Il y aura aussi l’équipe de France avec la nomination d’Hervé Renard et l’objectif de performer que ce soit à la Coupe du monde en juillet, aux Jeux Olympiques de Paris et la Ligue des Nations qui fait son entrée dans le calendrier."

52 commentaires
  1. Darn
    Darn - dim 28 Mai 23 à 17 h 26

    J'aime paaaaas les play-offs. J'aime le championnat marathon, pas voir le sixième finir champion.

    1. knoumkoufou
      knoumkoufou - dim 28 Mai 23 à 17 h 51

      Tout pareil et je rajoute la différence de buts particulière. Pas de championnat s' apparentant à des primaires politiques (les partis eux-mêmes en sont revenus).

    2. isabielle
      isabielle - dim 28 Mai 23 à 17 h 52

      Peut-être n'as-tu pas entendu JMA dire que cela ne concernait que les 4 premiers ?

      1. knoumkoufou
        knoumkoufou - dim 28 Mai 23 à 18 h 09

        Combien de points entre le premier et le quatrième cette saison ? 22 soit au au mieux 7 victoires et un nul. 8 pour du beurre ?

      2. Darn
        Darn - lun 29 Mai 23 à 7 h 53

        6, 4, 8 pour moi c'est pareil. Je n'aime ps les play-offs, cela vide de sens le championnat.
        Zlatan en avait d'ailleurs parlé quand il jouait aux EU.

      3. Avatar
        XUO - lun 29 Mai 23 à 8 h 09

        Darn
        Tu sais bien que Zlatan était archi nul dans les matchs décisifs. Combien de buts au PSG en phase finale de CL ? Zlatan = fort contre les faibles et faible contre les forts.

      4. Darn
        Darn - lun 29 Mai 23 à 9 h 37

        Oui mais il évoquait les play-offs AVANT les play-offs : dans le vestiaire les mecs c'était : "pas grave qu'on ait perdu aujourd’hui, il suffit d'être sixième." Et lui il ne comprenait pas ce genre de discours, il fallait être premier, pas autre chose, il n'avait pas cet état d'esprit-là. Et je le rejoins là-dessus. Alors oui, il n'a jamais été décisif quand il le fallait, mais je vois le problème sous un autre angle.

  2. isabielle
    isabielle - dim 28 Mai 23 à 18 h 03

    Les play off - tant décriés - sont censés apporter un peu plus d'incertitude sur le vainqueur du championnat, donc d'intérêt à regarder les matchs... 😶‍🌫️😰🥳
    Sur deux matchs il y a davantage d'émotions, le résultat n'est pas acquit... c'est ce que nous venons de vivre avec les récentes confrontations avec le PSG 🥵
    Je vous l'accorde, ce n'est pas dans les gènes du foot chez nous. D'autres sports le pratiquent volontiers (hockey, basket...) et le foot étranger aussi... avec un énorme engouement des fans. 🤩
    C'est une généralité chez les américains qui sont des sportifs (et des parieurs !) bien plus enthousiastes que nous.
    On s'y fera très vite... reste à savoir si cela incitera les fans à suivre davantage la D1 et surtout si cela va encourager les autres clubs à investir pour évoluer ?? 😜

    1. Darn
      Darn - lun 29 Mai 23 à 7 h 56

      Ah mais je suis persuadé que cela va susciter plus d'engouement, c'est certain. Et comme on a plus que 18 clubs, c'est bon, on a la place pour les play-offs.
      Mais c'est juste personnel, pour moi ça enlève tout intérêt à ce que représente le championnat.

      Et puis on va se dire "cool, le PSG sera peut-être moins champion" ; déjà ça restera à prouver, mais en plus, si par miracle ils finissent deuxième, ben ils auront quand même une chance de devenir champion... Génial !
      Cela dit, ça s'applique aussi au championnat féminin et donc à l'OL. Tant pis, j'aime pas les play-offs.

      1. Avatar
        XUO - lun 29 Mai 23 à 21 h 15

        Tu es en terminale, tête de classe, au bac tu n'obtiens pas la mention que tu souhaitais pour ton orientation. Tu vas faire la tronche à ceux qui t'ont dépassé sans mettre le cligno ?
        La meilleure façon de préparer l'avenir reste encore de bosser pour pouvoir affronter les play off que sont les épreuves du bac.

      2. Darn
        Darn - mar 30 Mai 23 à 8 h 17

        Mouais, pas sûr de la comparaison ; il n'y a pas de confrontation directe au bac !

  3. Avatar
    XUO - dim 28 Mai 23 à 18 h 07

    Pour ma part, je suis tout à fait favorable aux play off : cela occasionne des rencontres de haut niveau, d'une part, et prépare les équipes retenues aux matchs couperet, d'autre part. En somme, ce serait une bonne préparation pour officier au niveau supérieur, là où nous nous faisons régulièrement bouffer.
    Le titre de champion de France ne doit plus être considéré comme une fin en soi.

    J'oserais une comparaison avec le baccalauréat. Ce diplôme couronne-t-il les études secondaires ou prépare-t-il au niveau d'études supérieures. Il ne suffit pas de déclarer le bac comme un diplôme délivré par l'enseignement supérieur. Quand on voit le taux d'échecs en première année de fac, on se dit que tout n'a pas été préparé correctement.

  4. knoumkoufou
    knoumkoufou - dim 28 Mai 23 à 18 h 14

    Juste une question : à quoi sert de viser la première place et les efforts qui vont avec si la quatrième suffit ? Regain de vente de calculettes dans les clubs à prévoir.

    1. isabielle
      isabielle - dim 28 Mai 23 à 18 h 27

      ... bein !.... il faut viser plusieurs fois la première place ! ... et vaincre encore et encore...🤩
      Le but c'est de resserrer le haut du tableau pour avoir plus d'adversité.
      Je ne suis pas inquiet pour l'OL, les confrontations au plus haut niveau n'a fait que les renforcer mentalement nos fenottes, avec plus de matchs couperets elles progresseront davantage.
      Seules obligations ; un bon terrain et un arbitrage impartial à la hauteur de l'enjeu... pour éviter la loterie.😃

      1. knoumkoufou
        knoumkoufou - dim 28 Mai 23 à 18 h 48

        Fleury c' est le haut du tableau ?

    2. Avatar
      XUO - dim 28 Mai 23 à 18 h 48

      Viser la quatrième place?
      Pour plus de sûreté, il vaut mieux viser la première. Qu'est-il arrivé à nos Lyonnais qui visaient le podium ?
      Il ne faut pas pour autant affirmer que le championnat ne sert à rien : il permet à l'entraîneur de dégager son onze majeur, de l'évaluer, avec pour objectif notamment de préparer l'exercice suivant.

  5. Juni38
    Juninho Pernambucano - dim 28 Mai 23 à 18 h 34

    Les play off c'est l'américanisation du football.
    On va changer les racines de ce sport sous l'autel du business, toujours plus loin.

    Jean mimi est sûrement très favorable aussi à la création d'un championnat européen des clubs les plus riches , afin qu'ils se partagent encore davantage le gâteau du business du foot.

    1. isabielle
      isabielle - dim 28 Mai 23 à 19 h 01

      Le business est une chose, vouloir élever le niveau pour plus d'adversité, dans une compétition où le vainqueur ne doit pas être connu d'avance... en est une autre.
      Mais c'est clair, le "plus de fric" changera encore nos façons de faire... et dans tous les domaines !

      1. Juni38
        Juninho Pernambucano - dim 28 Mai 23 à 19 h 31

        Arguments fallacieux. Leur seule motivation est toujours plus de business et donc de fric.
        Le foot a déjà en grande partie perdu son âme ( je me souviens de l'AJA championne de France , c'était encore du vrai sport a l'époque ).

  6. Olympien First
    Olympien First - dim 28 Mai 23 à 18 h 56

    Pour ma part, je suis hostile à ces formules mêlant championnat et coupe. C'est juste une manière détournée de multiplier les matchs entre les meilleures équipes afin de multiplier les recettes, mais cela relègue à pas grand-chose la capacité à durer sur une saison à un niveau supérieur.

    En plus, les blessures importantes juste avant les play-offs peuvent affaiblir considérablement une équipe qui jusque là dominait la compétition.

    Si on veut multiplier les recettes et produire du spectacle tout en conservant la spécificité d'un vrai championnat, autant réduire drastiquement le nombre de clubs engagés dans la compétition, par exemple huit ou dix clubs en L1, mais instaurer une compétition avec quatre rencontre opposant chaque clubs durant celle-ci. Deux fois à domicile, deux fois à l'extérieur pour chacun.

    Le niveau serait plus relevé, favoriserait à la fois la qualité du spectacle et la compétitivité des clubs, particulièrement ceux engagés dans les coupes européennes. Et l'esprit et les vraies valeurs d'un championnat seraient sauvegardées.

    L'idée de play-offs très américaine, correspond effectivement à un autre état d'esprit, orienté vers le business et le "foot-spectacle-dysneyland", tout comme les ligues fermées préservant l'intérêt financiers des franchises en limitant les risques des gros investisseurs.

    Ce n'est pas parce que les américains le font, que le basket depuis toujours très américanisé lui a emboité le pas très vite, que le rugby essaie de se réinventer en permanence pour tenter de rattraper médiatiquement l'immense avantage pris depuis des décennies par le football, que ce dernier doit commencer à remettre en question systématiquement ce qui a fait son succès, son histoire et ses légendes.

    Déjà, l'introduction de la vidéo a été pour moi une erreur, présentée avec des arguments incomplets, des démonstrations orientées, avec comme toujours aujourd'hui cette fameuse "bonne intention moralisante" de réduire les erreurs, ce qui est complètement faux.

    Ou alors il faudrait au moins que les arbitres soient d'accord sur les interprétations. Et plus encore, que la vidéo servent pour chaque action d'un match: coups-francs, touches, corners, etc... Parce que les erreurs sont nombreuses sur ces actions de jeu, et fatalement jamais corrigées. Pourtant elles influent nécessairement sur le déroulement du match et sur son résultat. Bien sûr c'est impossible, je le sais, mais du coup les arguments moralistes avancés tombent un à un. Puisqu'il y a des erreurs, puisqu'elles perdurent en nombre même avec la vidéo, même pour les actions contrôlées, alors quel est l'intérêt de ces coupures imposées sinon de faire du débat, du spectacle mais pas sur le terrain, là ou normalement il devrait être.

    La seule nouvelle technologie introduite qui me parait très acceptable et généralement efficace, c'est la "goal-line technology", à condition qu'elle fonctionne bien et durant tout le match.

    Cette solution de play-off parait avoir germée ici avant tout pour le foot féminin. Comme il n'y a actuellement que deux clubs importants qui trustent tout les titres nationaux, et deux ou trois faire-valoir acceptables comme sparring-partners, autant multiplier les rencontres entre ces clubs.

    Mais encore une fois, mon idée de resserrer encore bien plus l'élite, à huit clubs par exemple et en multipliant les rencontres par deux sur une saison, me parait bien plus respectueuse de l'esprit d'un championnat.

    1. isabielle
      isabielle - dim 28 Mai 23 à 19 h 09

      Depuis des lustres, le championnat Ecossais ne comporte que 6 clubs, mais se sont toujours les 2 mêmes qui se partagent les victoires... les autres ne progressent pas !
      N'y aurait-il pas une limite à trouver ?

      1. Olympien First
        Olympien First - lun 29 Mai 23 à 6 h 33

        Il n'y a malheureusement pas de solution idéale en l'absence d'une élite assez nombreuse de qualité. C'est quand même plutôt le cas pour le foot masculin en France, avec de gros moyens financiers aussi.

        Pour le foot féminin, c'est loin d'être le cas et le chemin risque d'être long, mais si quelqu'un comme Aulas s'investit dans ce secteur, il y a des chances que ça aille bien plus vite. Ce qui ne signifie pas que toutes ses idées et propositions soient bonnes. Il y a un tri à faire, et lui même devrait approfondir sa réflexion sur le sujet.

        L'idée d'imposer aux grands clubs masculins de développer une véritable équipe féminine, avec un statut professionnel est elle plutôt bonne.

        Sa bonne et grande volonté est évidente, et à la limite si sa proposition de "play-off" (qu'on appelle ça comme on veut) se limite au foot féminin, c'est un moindre mal, en attendant qu'une véritable élite pro se forme et puisse constituer un vrai championnat de qualité.

        C'est en tout cas mon point de vue mais je comprends que d'autres ne le partagent pas, ou pas complètement.

  7. JFOL
    Juni forever OL - dim 28 Mai 23 à 19 h 49

    Laissons ce truc au rugby ou sports américains.
    Il a fumé la moquette en parlant de play off pour les garçons 🤣🤣
    C'est une bonne idée chez les filles car il n'y a que 14 équipes dans un championnat qui n'intéresse presque personne avec seulement 3 ou 4 très bonnes équipes certaines saisons

  8. Juni38
    Juninho Pernambucano - dim 28 Mai 23 à 20 h 50

    planning surchargé pour le prez , qui sera encore une figure omniprésente du football français .

    Ce soir il est au trophées du football .

    Encore du champagne et des petits fours , attention de ne pas trop en abuser .

    La brune canon assise à ses côtés , c'est sa dernière copine je suppose ?

    1. Avatar
      XUO - dim 28 Mai 23 à 20 h 58

      Non, c'est ma petite soeur !

      1. JFOL
        Juni forever OL - dim 28 Mai 23 à 22 h 09

        Elle est bien bonne 🤣

      2. Juni38
        Juninho Pernambucano - dim 28 Mai 23 à 22 h 10

        Faudra me la présenter

  9. Roro Blouch
    Roro Blouch - dim 28 Mai 23 à 21 h 34

    Le débat pour ou contre les play-offs, c'est un peu comme la querelle entre les nouveaux riches et les anciens riches : les seconds reprochent aux premiers leur vulgarité. Quand on est un américain bien comme il faut, on veut des larmes et du sang, il faut que ça brille, il faut que ça fasse du bruit. Les play-offs participent de cette expérience du spectacle. Quand on est un européen, on est plus subtile dans l'approche du sport, on ne cherche pas des pics incessants d'émotions mais plutôt les hauts et les bas d'une saison sportive et des épreuves qui la jalonne. Je caricature mais ça donne une idée. Au-delà des arguments économiques, c'est d'abord deux conceptions esthétiques du sport qui s'affrontent.

    Personnellement, je préfère notre manière de faire du sport plutôt que celle des américains. Ils ont droit à leur propre conception du sport, chez eux. Américaniser le sport européen serait une grande perte de notre spécificité culturelle mais aussi une dévaluation de la spécificité culturelle américaine. Prenons la NBA, l'exemple que je connais le moins mal, chaque match est un spectacle. Chez nous, l'histoire des clubs est différente, c'est une histoire sociale, c'est un ancrage dans un territoire avec des personnalités fortes et des histoires humaines. Nous venons de fêter l'ère Aulas à Lyon, nous devrions être les premiers à l'admettre : un club, c'est autre chose qu'une franchise !

    Honnêtement, si les gens aiment les matchs couperets, il y a déjà les coupes pour leur plaire. Cette année, Toulouse a fait la surprise et a gagné en finale. En face, un Paris encore une fois ridicule dans les matchs importants s'est imposé sur la longue durée d'un championnat par sa simple supériorité sur le terrain. La saison 22-23 est l'illustration parfaite de la différence profonde entre gagner un championnat et une coupe. Les play-offs changent la donne en incitant d'abord à ne pas perdre le championnat puis à tout donner sur une période de temps resserré, il n'y a plus de vraie incentive à gagner le championnat.

    1. JFOL
      Juni forever OL - dim 28 Mai 23 à 22 h 12

      +1
      Aux US, les dits "clubs" sont les villes universitaires
      Ils remplissent des stades de plus de 100000 places en NCAA foot us par ex
      https://comprendre-le-football-americain.fr/les-10-plus-grands-stades-de-football-americain/

    2. isabielle
      isabielle - lun 29 Mai 23 à 16 h 25

      @ Roro
      Propos très cohérents... surtout sur le fait qu'il est important de conserver notre culture du sport (entre autre !)
      JMA recherche simplement un moyen de donner de l'intérêt à un championnat de foot féminin, et de faire progresser les clubs de haut de tableau... ce qui est indispensable pour attirer les fans.
      Les play-offs en sont un, facile à mettre en place et peu onéreux... mais il y en a certainement d'autres ?
      Un match de foot féminin ne coûte pas grand chose à organiser, surtout si les rencontres se font en match AR sur le terrain des clubs concernés.... nul besoin de mobiliser 2 compagnies de CRS ou de jouer la nuit... quand à l'aumône des diffuseurs, cela ne les mettra pas en faillite !

  10. Le_Lyonniste
    Le_Lyonniste - dim 28 Mai 23 à 22 h 01

    Les play-offs peuvent aider d'autres équipes quele P$G à gagner. Ca peut être très bénéfique pour l'intérêt sportif.

  11. Juni38
    Juninho Pernambucano - dim 28 Mai 23 à 23 h 19

    Benzema qui souhaite une bonne retraite à Jma , en direct aux trophées 🏆 ce soir 🧐😂😅

    Il n'a pas tous ses trimestres, personne n'a averti Karim ?
    😂

    1. JFOL
      Juni forever OL - dim 28 Mai 23 à 23 h 27

      🤣 il nous a fait une ben arfa le karim

      1. JUNi DU 36
        JUNi DU 36 - lun 29 Mai 23 à 0 h 10

        Quel dribble magnifique il fait sur le gardien du Rayo Valecano mercredi dernier.

      2. Juni38
        Juninho Pernambucano - lun 29 Mai 23 à 0 h 27

        Légendaire. 😂

        Il ne doit pas lire olympique et lyonnais , c'est pour ça . 😂

        Je constate qu'il est a Paris ce soir mais hier a Lyon c'était sans doute pas possible 🙄🤔

  12. Avatar
    exile97 - lun 29 Mai 23 à 1 h 17

    Moi j'aime bien les matchs de phase finale entre les 6 premiers au rugby. Je trouve que cela donne du piment. Pourquoi vous parlez tous de play off,
    Aux us pas de descente.
    Phase finale des 6 premiers, Grand oui pour moi.
    Je constate que beaucoup ici sont très conservateurs......😁😁😁

    1. Olympien First
      Olympien First - lun 29 Mai 23 à 6 h 41

      Le progrès n'en est réellement un que s'il marque une avancée réellement positive pour la majorité. Sinon, ce n'est que du suivisme aveugle dans une direction imposée. Il y a aussi très souvent des retours en arrière lorsque il s'avère qu'on s'est trompé de direction.

      Mais parfois, c'est trop tard et Aulas est bien placé pour le savoir.

    2. JFOL
      Juni forever OL - lun 29 Mai 23 à 9 h 32

      Aulas dit ça parce que le qsg, c'est comme avec le Bayern, ça gagne le championnat 9 ou 10 fois sur 10
      C'est vrai que c'est chiant mais il faudrait davantage réguler le fric dans le foot, les transferts, la provenance de cet argent que de rajouter encore plus de matchs avec des Playofffs dont le but reste de gagner encore plus de fric, c'est le but, le fric, faut pas se voiler la face, c'est ce qui compte pour eux et leurs entreprises ou fédérations ou ligues ...

  13. Le_Lyonniste
    Le_Lyonniste - lun 29 Mai 23 à 7 h 55

    Aulas doit continuer d'entreprendre dans la ville de Lyon, pas aux USA.

  14. Edmi
    Edmi - lun 29 Mai 23 à 9 h 06

    Le titre de champion perd un peu plus de prestige chaque saison. Les instances européennes du foot ont tout fait dans ce sens depuis pas mal d'années maintenant. Qu'ils créent leur ligue européenne avec une dizaine de clubs des championnats majeurs et la L1 servira de réservoir pour ces clubs. Une coupe d'Europe du pauvre en mode Europa League pour confirmer ces jeunes prometteurs et compléter les recettes des centres de formation et le tour est joué.
    Olympique et Lyonnais, en temps que média, un avis sur la question ?
    Bonne journée à tous

  15. janot06
    janot06 - lun 29 Mai 23 à 9 h 25

    Eh bien moi, ça me gênerait beaucoup de voir le 4ème finir champion.
    On ne couronnerait pas le plus régulier sur une saison, donc le plus méritant à mes yeux, mais le plus opportuniste, même si ce quatrième était L'OL...

    Une année, l'Asvel a été championne de cette façon alors que Monaco avait terminé premier de la saison régulière. Ça m'avait offusqué, bien que content bien sûr !
    J'avais trouvé ça injuste.

    1. JFOL
      Juni forever OL - lun 29 Mai 23 à 9 h 42

      C'est vrai mais le basket est un sport ou tu peux faire presque 100 matchs par saison (NBA), en foot, ça chiale comme des gosses des qu'ils font 3 matchs en 10 jours
      En rugby, ils ont 14 clubs, ca fait peu de matchs sur une saison donc les Playofffs sont adaptés
      Et puis merde, les traditions, faut savoir les garder, sur que tu es d'accord, bien sûr qu'il faut être conservateur dans certains cas sinon tu perd tes repères
      La coupe Davis, tout le monde s'en tamponne maintenant qu'ils ont instauré cette organisation, je regardais tous les matchs , maintenant, je ne sais même plus quand ca a lieu et quel pays gagne ...

      1. Avatar
        XUO - lun 29 Mai 23 à 9 h 53

        Tu as moins d'efforts à fournir sur un parquet que sur du gazon, crampons en plus...
        La Coupe Davis a été complètement dénaturée.

      2. janot06
        janot06 - lun 29 Mai 23 à 10 h 20

        Idem.
        Pour moi, la Coupe Davis a disparu.

      3. Roro Blouch
        Roro Blouch - lun 29 Mai 23 à 11 h 08

        Ne suivant pas trop le tennis, qu'est-ce qui s'est passé avec la coupe Davis ?

      4. Le_Lyonniste
        Le_Lyonniste - lun 29 Mai 23 à 11 h 38

        2019 : Espagne
        2021 : Russie
        2022 : Canada

      5. janot06
        janot06 - lun 29 Mai 23 à 13 h 58

        #Roro Blouch
        Malomenix est plus amène pour te répondre.
        Pour résumer, la compétition se déroule entièrement sur trois jours je crois.
        Les top joueurs préféraient privilégier les grands tournois et déclinaient la sélection de leur fédération ce qui a conduit à une réforme controversée de la compétition. Une petite mort de l'épreuve.

      6. Tongariro
        Tongariro - lun 29 Mai 23 à 17 h 01

        @Roro Blouch

        Vu que le tennis est le sport que je suis le plus après le foot, je me permets de te répondre et d'approfondir la réponse de janot06.
        La Coupe Davis est l'épreuve phare entre nations au tennis.
        Elle se jouait jusqu'en 2018 en 4 week end (pour la phase finale) en février (huitièmes de finale), avril (quarts), septembre (demi) et décembre (finale).
        Il fallait à l'époque, pour passer un tour, qu'une nation gagne 3 matches (sur 5 maximum lors d'un week end -> 4 simples et un double), sachant que chaque match se jouait en trois sets gagnants (donc 5 sets max).
        Cette épreuve était extrêmement prestigieuse et chaque grand tennisman désirait la remporter (c'est à partir de sa victoire fin 2010 que Djokovic trouve le déclic qui le fait exploser en 2011 en faisant une des meilleures saisons individuelles de l'histoire du tennis et Federer a été plus qu'heureux d'enfin la gagner en 2014 (vs la France)).

        Sauf que dans la logique de fast food et instantanéité, couplé au pognon, qui a envahi chaque domaine de nos vies, la Coupe Davis s'est peu à peu vu contester avec des investisseurs qui ont cherché à y instaurer un nouveau format. C'est ce qu'a réussi Gerard Pique (l'ex défenseur du FC Barcelone) avec son groupe Kosmos qui a réussi à la racheter pour la mettre sous un nouveau format avec une phase finale se déroulant sur une courte période seulement en fin d'année et avec des matches entre pays se disputant en trois rencontres (donc deux matches gagnants) et chaque match se déroulant en deux sets gagnants. Le format a donc été totalement dénaturé.

        Et là où je ne suis pas d'accord avec janot, c'est que la manque d'attractivité de l'ancien format a été un argument (L'ARGUMENT) en effet le plus utilisé pour changer de format mais cet argument était fallacieux si l'on regarde en détail.
        En effet, la réalité est que la majorité des joueurs majeurs au monde continuaient à venir disputer cette Coupe Davis format d'antan (c'est à dire sur 4 week end dans l'année pour ceux allant en finale). Les exceptions étaient rares. Un Federer par exemple ne la jouait plus (depuis qu'il l'avait gagné en 2014) mais le nouveau format de 2019 n'a pas fait qu'il soit revenu la jouer, vu qu'il se préservait pour les tournois individuels. Mais sinon si on regarde les deux dernières éditions de la CD format d'antan (2017 et 2018), y figurent une majorité des joueurs du top 10 -> Nadal, Djokovic, Zverev, Thiem, Clic, Isner, Sock, Goffin, Carreno Busta. Et ceux n'y participant pas c'était avant tout pour des causes de blessure (Nishikori, Del Potro) ou car leur pays n'y étaient pas (Dimitrov, Anderson) que vraiment par refus d'y participer par manque d'attractivité (cas de Federer ou Wawrinka).

        Bref tout ça pour dire que le format mythique aurait pu être amélioré (notamment par la distribution de points ATP) mais il avait vraiment du charme (rencontres en 4 week end sur l'année, avec format domicile ou extérieur, rencontres en 3 matches gagnants et matches en 3 sets gagnants, etc) et appartenait à l'histoire du sport et ce format a été détruit au nom de lubies d'investisseurs qui l'ont bousillé tout en foirant totalement la mise en place du nouveau format puisque ce dernier fait un bide en termes d'audience et spectateurs, les gens ayant bien compris que la réelle Coupe Davis était désormais morte !

      7. isabielle
        isabielle - lun 29 Mai 23 à 17 h 28

        Bonjour Tonga,
        je te confirme que la nouvelle formule ne m'a jamais convaincu et je me suis complétement désintéressé de la CD.
        Mais il me semble que Kosmos en grande difficulté financière a été liquidée, non ?
        Les tennismen qui étaient sous contrat ont, semble-t-il, tous abandonné ce triste cabinet d'agents, non ?
        Que devient la Coupe Davis ?... n'est-ce pas devenu une licence ?
        Peux-tu nous éclairer succinctement ?

      8. Tongariro
        Tongariro - lun 29 Mai 23 à 17 h 42

        Salut isabielle !

        En effet Kosmos est en difficulté et si l'épreuve 2023 va se disputer avec le nouveau format chaotique, les choses changeront après.

        Mais cela reste très flou et je te renvoie à cet article :
        https://www.ouest-france.fr/sport/tennis/coupe-davis/coupe-davis-apres-quatre-ans-de-marasme-quelle-suite-pour-la-competition-099c4836-9345-11ed-a8c1-88153e21c5d2

        "Une formule qui ne changera pas en 2023. Dans son communiqué, l’ITF a d’ores et déjà annoncé que le format resterait identique aux dernières années : « Nous organiserons les qualifications et les phases finales de l’édition 2023 comme prévu, avec la phase finale à huit équipes organisée à Malaga, en Espagne, au mois de novembre. » Cependant, la fin du partenariat peut donner de l’espoir pour la suite. La reprise en main par l’ITF pourrait permettre aux Fédérations nationales d’être de nouveau entendues sur le format de cette compétition.
        L’Équipe rapporte que plusieurs options seraient à l’étude. L’idée d’une Coupe Davis sur trois ans, avec une phase de poules de deux ans puis une phase finale la troisième année, et un retour des matches domicile/extérieur serait étudiée. Les spéculations vont aller bon train dans les prochaines semaines. Une chose est quasi sûre : il sera difficile de faire pire que les cinq dernières années."

        Ainsi, malheureusement le format d'antan qui a donné son charme à cette compétition mythique ne devrait pas revenir au goût du jour mais au moins le fiasco Kosmos va cesser !

      9. isabielle
        isabielle - lun 29 Mai 23 à 17 h 53

        Merci

  16. JUNi DU 36
    JUNi DU 36 - lun 29 Mai 23 à 21 h 29

    Houla on est dans du très haut-niveau à 21h15 dans l'article. Du bon, du vrai, du Xuo quoi 🍻

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