En retrait à l’OL depuis maintenant cinq mois, John Textor continue de faire parler de lui. Ayant opéré quelques changements importants au sein d’Eagle Football Holdings, l’Américain a démenti être au bord de la banqueroute.
Les résultats sportifs de l’OL ont quelque peu relégué au second plan ce qu’il se fasse dans les bureaux. Néanmoins, la sortie de Michael Gerlinger en marge du match contre le PSG a rappelé la réalité économique du club lyonnais. Ce dernier est encore loin d’être sorti de ses problèmes et continue à devoir payer les pots cassés de John Textor. L’homme d’affaires américain n’est plus aux manettes de l’OL depuis juillet dernier, mais son ombre plane toujours au-dessus de Décines. Les manoeuvres de réorganisation du conseil d’administration d’Eagle Football Holdings ces derniers jours ont fait ressurgir un passé récent dont les supporters et tout l’environnement aimeraient oublier.
Le litige contre Iconic Sports, une bascule à venir ?
Plus difficile à dire qu’à faire. Quoi qu’il en soit, John Textor s’accroche et cherche encore et toujours à rassurer tant qu’il peut le faire. S'exprimant dans le podcast Canal do Medeiros, l'homme d'affaires américain a tenu à faire taire ceux qui prétendent qu'il est désormais au bord de la banqueroute. "Je m'excuse si ce commentaire paraît arrogant. Mais on parle de moi comme si j'étais fauché, alors que j'ai remboursé toutes mes dettes entre 2021 et fin 2022. De plus, je suis le principal investisseur d'Eagle. Ceux qui prétendent que je suis sans le sou cherchent simplement à nuire à ma réputation et à semer la panique."
Néanmoins, les affaires pourraient se gâter dans les prochains jours ou prochaines semaines avec l’action en justice intentée par Iconic Sports qui réclame 93 millions d’euros au patron d’Eagle Football et qui pourrait largement redistribuer les cartes.

Ce garçon va finir en cabane , ce qui est sur c'est qu'il a ruiné l'OL et l'a conduit au bord de la banqueroute cette année.
Il est dans la lignée de ces investisseurs américains qui ont coulé bien des clubs en France ( et Aulas ne pouvait pas ne pas le savoir ) :
Par exemple cet autre repreneur américain ayant fait faillite dans le football français était le fonds d'investissement 777 Partners, basé à Miami et fondé par Steven Pasko et Josh Wander. Ce fonds était propriétaire ou actionnaire de plusieurs clubs, notamment le Red Star en France, mais aussi le Standard de Liège (Belgique), Genoa (Italie), Hertha Berlin (Allemagne), FC Séville (Espagne), Vasco da Gama (Brésil) et Melbourne Victory (Australie). 777 Partners a été officiellement déclaré en faillite le 7 octobre 2024, comme l'a révélé le média norvégien Josimar. Cette faillite a provoqué d'importantes difficultés pour tous les clubs concernés, entraînant une revente ou une mise sous tutelle par des déficits américains.
Ce cas est l'exemple le plus récent et persistant d'un repreneur américain ayant fait faillite dans le football français, impactant non seulement le Red Star mais aussi l'ensemble de son portefeuille de clubs à l'international.
Il y en a d'autres !!
Textor n'était pas le choix de Aulas mais celui des autres actionnaires. Il l'a dit dès la conclusion de la vente.
mais bien sur , l'OL n'était pas son club d'ailleurs .
Aulas voulait Gilett qui a été retoqué par la banque mandaté pour la transaction.
C'est d'ailleurs bien plus la responsabilité de cette banque de ne pas avoir mieux considéré les porte feuilles du repreneur:
https://training-you.fr/blog-corporate-finance-actualites-l-ol-est-officiellement-vendu-a-l-americain-john-textor/
Le seul point que l'on peut lui reprocher, c'est que le montant de la vente a été si haut que ça a limité le panel de possibles repreneurs
Ce qui a été fait a été fait... Malheureusement !😩
Maintenant va falloir remonter la pente, puis pourquoi pas trouver un bon repreneur(cette fois ci) dans les années à venir.
Bonjour tous...Encore une fois je suis toujours étonné de découvrir des supps ici qui étaient dans le bureau à la colonne noire du Groupama avec JMA pour négocier la vente de notre club bien aimé.
D toutes façons la vente avec le cow boy adepte des rodéos financiers c'est fait.
Je reste encore très inquiet sur la suite du déroulement du western et cet article ne me rassure pas plus que ça !
Bonne semaine à tous!
ET bien s'il a de l'argent...qu'il paie ses dettes