Tino Kadewere
Tino Kadewere (Photo by PHILIPPE DESMAZES / AFP)

OL : Kadewere aura-t-il sa chance ?

Prêté la saison dernière à Majorque, Tino Kadewere revient à l'OL cet été. L'avenir du Zimbabwéen semble, pour l'instant, assez flou.

Tino Kadewere pourrait continuer de surprendre son monde. Le parcours atypique du Zimbabwéen a toujours été pour le moins surprenant. Arrivé de Suède à l'été 2018, l'attaquant signe au Havre, en Ligue 2. Après une saison marquée par une grosse blessure au ligament du genou, il ne joue qu'à partir de novembre, mais montre déjà ses qualités. À l'aise devant les cages adverses, il marque 7 buts en 28 rencontres pour sa première année en France.

C'est lors de la saison 2019-2020 qu'il explose. Lors des huit premières journées de Ligue 2, il marque à 10 reprises et fait 2 passes décisives. Des statistiques impressionnantes qui ne passent pas inaperçues. Après l'arrêt anticipé du championnat, l'OL jette son dévolu sur l'international zimbabwéen (19 sélections).

Une première saison réussie

Recruté pour environ 12 millions d'euros, Tino Kadewere arrive pourtant sur la pointe des pieds dans le Rhône. Sa première année à l'OL est plutôt réussie. Souvent aligné avec Memphis Depay et Karl Toko-Ekambi, il gagne la confiance de Rudi Garcia qui fait de lui un titulaire. Les Lyonnais sont champions d'automne et les performances de l'ancien joueur de Djurgårdens ne sont pas étrangères à la bonne forme de l'équipe. Il inscrit 10 buts en 33 matchs de Ligue 1, dont 4 lors de ses deux premiers derbys.

Sa seconde saison sera beaucoup plus compliquée. Relégué sur le banc par Peter Bosz, il ne parvient jamais à se montrer convaincant lors de ses entrées en jeu. Kadewere ne joue qu'à 20 reprises. La saison suivante, il est prêté à Majorque où il ne s'imposera pas.

Nouveau départ

Avec l'arrivée de Laurent Blanc les cartes sont désormais redistribuées. En concurrence avec Amin Sarr, il devra profiter des matchs de préparation pour montrer toutes ses qualités. Cité du côté de Montpellier il y a plusieurs semaines, l'ancien Havrais n'a plus fait l'objet de nouvelles rumeurs et pourrait s'imposer comme une alternative à Alexandre Lacazette la saison prochaine.

24 commentaires
  1. Avatar
    Olyonn@is-le pollueur - dim 9 Juil 23 à 13 h 06

    Vous préférez Amin Sarr où Tino ?

    😮

    1. Avatar
      simonlyon6 - dim 9 Juil 23 à 13 h 15

      Tino on a déjà vu ce qu'il pouvait faire lorsqu'il était en jambes et en confiance.
      Amin Sarr j'attends toujours de voir pourquoi on a dépensé autant pour lui. En espérant une bonne surprise !

    2. JUNi DU 36
      JUNi DU 36 - dim 9 Juil 23 à 20 h 52

      Tinooooo
      Les deux derby il avait été magique, mais bien d'autres matchs aussi, il a fait plier Paris à lui tout seul 🤩

      1. Avatar
        GoNL - dim 9 Juil 23 à 21 h 03

        Devant Nice il a fait céder Lyon à lui tout seul

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    ciresglover - dim 9 Juil 23 à 13 h 08

    Si il est axial alors effectivement avec Sarr il y aura de nouveau plus de profil axiaux que d'ailier donc on va de nouveau avoir des mecs qui soient ne jouent pas soit pas à leur poste. Si il doit rester le faire jouer sur un côté serait une alternative à Barcola ou Jeffinho.
    Il me semble plus véloce et actifs en replis défensif que Sarr. Mais je ne l'ai pas vu jouer depuis son départ.
    Pour répondre à ta question l'anti ecolo 😄 je préfère donner une chance à Kadewere. Je n'ai pas d'avis tranché pour Sarr, mais je ne comprend pas son recrutement

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    simonlyon6 - dim 9 Juil 23 à 13 h 14

    J'espère qu'il a rêvé qu'il allait faire une saison à 30 buts.

  4. Tongariro
    Tongariro - dim 9 Juil 23 à 13 h 28

    Autant JRA, Koné et KTE y a aucun espoir (pour différentes raisons), autant garder Kadewere en remplaçant ça me dérange pas.
    Je pense pas qu'il soit inférieur à Amin Sarr, il est polyvalent et j'oublie pas que sa première saison à l'OL (à un poste qui n'est pas le sien, ailier) est de qualité, avec surtout une demi saison excellente fin 2020.
    Après il marche à la confiance et clairement cette dernière a été pas mal brisée depuis 2021.

  5. Tongariro
    Tongariro - dim 9 Juil 23 à 13 h 43

    Petit souvenir de cette victoire au Parc des Princes en 2020 -> https://www.youtube.com/watch?v=fVepKPeaXaY

  6. Darn
    Darn - dim 9 Juil 23 à 13 h 55

    Pas très chaud pour garder Kadewere, j'aimerais autant essayer Sarr.
    Effectivement, Kade pourrait jouer axial, mais j'ai le souvenir de très beaux loupés le concernant à ce poste, ou au moins dans cette position.

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    OLien - dim 9 Juil 23 à 13 h 55

    Encore un pari perdant pour un joueur qui avait juste fait 4 bons mois dans sa carrière avant de venir chez nous (il avait été élu meilleur joueur de Ligue 2 en décembre 2019). Ce fut suffisant pour qu'on le recrute.
    Vous me direz, Amin Sarr a été recruté après avoir fait zéro bon mois...

    Il a déjà eu sa chance pendant deux années à Lyon. Bilan : trois mois à un niveau intéressant.
    Dans la mesure où il a oscillé entre le moyen, le médiocre et le fantomatique tout le reste du temps, y compris lorsqu'il était prêté à Majorque, on peut en déduire que ses quelques bons mois étaient l'exception qui confirmait la règle.

    Il va partir gratos s'il reste (fin de contrat en juin 2024).

    1. Avatar
      ObjectifEurope - dim 9 Juil 23 à 18 h 05

      Le pire, pour en rajouter une couche à ton constat très lucide, c' est qu'on a laissé partir gouari pour le recruter .....

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    juninho pernambucano - dim 9 Juil 23 à 14 h 31

    Personnellement je le laisserais partir, début de saison dernière on a aussi commencé à vouloir donner des nouvelles chances à tout le monde, le résultat a été un fiasco avec une ribambelle de prêt en hivers.

    Puis ça veut dire que lacazette a aucun remplaçant crédible et on a assez vu la différence quand lacaz n’était pas là.
    Techniquement c’est tellement faible tino, j’ai pas oublié tout ses contrôles de m, ses remises simple toujours ratées, ses prises de décision constamment à l’Ouest.
    Et dire que je le trouve plus fort que Sarr en plus.
    C’est dire à quel point les 2 doivent laisser place à un joueur capable de mettre en concurrence lacazette.

    A part 3 mois ou toute l’équipe était en sur régime il n’a rien montré qui prouve qu’on doit le garder.

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    Jujuboy - dim 9 Juil 23 à 15 h 09

    Je pense que compte tenu de nos moyens et effectif, c'est à lui qu'il faut donner la doublure AC.

    En attendant, Rennes, après avoir récupéré Flo Moi et BruG continue de faire un recrutement qui m'impressionne.

    Après Terrier, Gouiri, Kalimndo et Laborde l'année dernière, Blas et Le Fée cette année! Je les jalouse de pouvoir attirer ces joueurs et d'avoir ces moyens. Un club qui a une vraie dynamique, en plus d'une stratégie identifiée... C'est ce que j'aurai aimé voir pour mon club...
    De plus en plus, je pense que les Président Aulas, ainsi que l'environnement hostile du club (tjrs d'actualité) ont plombé le club depuis 10 ans, ont conduit à faire de mauvais choix, à s'en dédouanner et à occulter la vérité...

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      OLien - dim 9 Juil 23 à 15 h 27

      C'est plus complexe que ça, et cela tombe bien, je viens de lire un long article du Progrès qui traite de ce sujet, que voici :

      "A l’OL, “la culture de la victoire s’évapore”

      "Ça arrive dans le cycle d’un club comme le nôtre d’avoir une mauvaise passe”, expliquait en début d’année, l’emblématique ancien président du club, Jean-Michel Aulas.
      « Nous avons un reflet de maturité. Il faut parfois savoir accepter les difficultés pour mieux récupérer, et non les accentuer ou les accélérer ».

      Le constat d’affaiblissement du club, au cœur d’un cycle difficile, est fait par tous. Comme l’ASSE, qui a cultivé la nostalgie de ses belles années, l’OL commence à voir ses années de gloire au loin, dans le rétroviseur. L’attractivité du club en a pris un coup, et ce n’est pas nouveau, même si Aulas pointe toujours du doigt la saison 2019-20, interrompue avant son terme en raison de la pandémie comme point de départ des ennuis.

      Le Covid et le début des troubles ?

      En marge d’une conférence sur le football féminin à Londres, en tant que membre du Comex de la FFF, il est revenu la semaine dernière sur cette période : “Paradoxalement, on a joué une demi-finale de Ligue des champions cette même année sans se qualifier pour la suivante et depuis, nous n’avons pas réussi à nous stabiliser ».

      C’est vrai, l’OL n’était pas loin des sommets en 2020 – demi-finaliste de l’épreuve reine en août, champion d’automne de Ligue 1 en décembre – mais il a fini par manquer de moyens. Le Covid et le retrait de Mediapro ont pesé, générant, selon Aulas, « des résultats économiques déficitaires qui ne nous permettaient pas d’investir comme nous pouvions et voulions le faire ».

      Mais le creux de la vague était déjà perceptible. L’instabilité du banc où se sont succédé quatre entraîneurs, Sylvinho, Rudi Garcia, Peter Bosz, Laurent Blanc, après le départ mouvementé de Bruno Genesio, en est l’illustration.
      On ajoutera que l’OL n’a pas eu que des inspirations dans le recrutement. La bonne santé de son centre de formation lui a permis de limiter les dégâts comme souvent au cours de sa riche histoire.

      Témoin attentif de la vie d’un club dont il ne s’est jamais trop éloigné, Raymond Domenech analyse avec acuité ce phénomène d’érosion, que les nouvelles têtes pensantes du club, John Textor et Santiago Cucci, futur président exécutif, s’efforceront d’endiguer.
      « Je souffre », dit-il. Pour lui, les principaux acteurs du déclin sont avant tout les acteurs. « Avec ce classement, le club ne peut pas être attractif, notamment sur le marché des transferts. Et sans la Coupe d’Europe, vous n’avez pas de grands joueurs », dit-il.

      La Coupe d’Europe, dont l’OL a été résident régulier pendant 23 années consécutives entre 1997 et 2020, est le véritable baromètre du club, qui est progressivement descendu du stade de la Ligue des champions, alors qu’il a besoin, avec un tel stade, de l’occuper au moins tous les deux ans.

      L’image du club, qui n’a plus remporté de trophée depuis une décennie, moqué et mis en cause pour sa politique sportive sur les réseaux sociaux, est ternie.
      Au sujet du recrutement, l’OL, qui bouleverse désormais sa structure pour relever les défis de demain avec plus de modernité, a souffert d’échecs ou de choix malheureux.

      Et si le club peut se réjouir de belles plus-values ​​à la revente des meilleurs ou des plus prometteurs de ses joueurs, cela signifie aussi qu’il n’est pas, ou plus, assez gros pour les garder. Il faut ajouter que la nouvelle tendance des joueurs à partir libres en fin de contrat a contribué à bouleverser son propre modèle sportif et économique.

      Le jeu de séduction, notamment avec les joueurs brésiliens, a longtemps été un point fort. Si la liaison OL – Botafogo ouvre toujours des portes au Brésil, l’histoire n’est plus la même et le départ de Juninho, qui avait réussi à attirer Guimarães et Paqueta, a cassé quelque chose.
      “Quand il était directeur sportif, il a été mis dans une situation compliquée avec Vincent Ponsot, qui lui a refusé beaucoup de choses” se remémorait récemment Sidney Govou, consultant pour notre journal.

      Le club a démontré sa capacité l’an dernier, à rappeler ses grands “anciens” comme Lacazette ou Tolisso, fiers de mettre en avant l’ADN lyonnais, mais il a peiné sur des dossiers compliqués, comme pour le gardien Onana, l’attaquant Azmoun, le défenseur Malacia ou les milieux de terrain Joao Gomes et Skhiri.

      Pour redevenir attractif, l’OL doit donc innover. « C’est plus facile pour Toulouse de trouver un joueur en D2 néerlandaise grâce à la data, qui s’avérera être une bonne pioche, que pour Lyon, qui doit viser des joueurs de plus haut niveau. Pourtant, l’OL a trop recruté pour recruter des joueurs de passage, qui ont fini par se noyer en étant entraînés vers le bas », poursuit Domenech.
      “La vitrine du club n’est plus éclairée”, ajoute-t-il. « Vous descendez petit à petit, et la culture gagnante s’évapore. Le trading ne fonctionne pas toujours, et un jour c’est l’alerte rouge. C’est arrivé à d’autres, alors je dis : attention, secouez-vous ! ».

      Le changement de cap à l’OL, un club, rappelons-le tout de même, valorisé à près de 800 M€ lors de sa reprise par Eagle Football Holdings (26e club le plus cher du monde selon le classement Forbes), permettra-t-il un retour sur le devant de la scène ?
      C’est le grand défi de la, et des prochaines saisons. La route sera longue, mais le savoir-faire maison, remis au goût du jour à l’américaine, finira par ramener l’OL, on l’espère, en tête d’affiche.

      Une passion populaire à restaurer auprès des supporters

      Quand les Lyonnais parlent de leur Olympique, le fatalisme s’invite souvent au détour d’une phrase. Si la colère d’une partie du public s’est exprimée haut et fort à plusieurs reprises ces dernières années – fronde anti-Genesio, antipathie pour Rudi Garcia, problèmes relationnels avec plusieurs joueurs et avec l’encadrement, boycotts etc… – généralement les supporters lyonnais ne boudent pas L’OL, même dans la crise.

      Avec une moyenne de 47 583 spectateurs au Groupama Stadium, et 404 à l’extérieur, l’OL se situe dans la partie haute (2e à domicile, 7e à l’extérieur) de ce classement spécifique pour la saison 2022-2023.
      En demi-finale de Coupe de France à Nantes, les supporters qui attendaient beaucoup de ce match, ils étaient un millier à pousser, mais la déception avait au moins été à la hauteur de la mobilisation.

      Les supporters ne comptent plus les déceptions qui ont entraîné leur équipe dans le ventre mou de la Ligue 1 depuis trois ou quatre ans, ni les déceptions en Coupes (Nantes cette année, mais aussi Rennes en demi-finale à domicile en 2019 ou West Ham l’an dernier en quart de finale de la Ligue Europa).

      En 2023, les appels à la démission de Vincent Ponsot et Bruno Cheyrou n’ont pas non plus épargné les dirigeants, alors que Jean-Michel Aulas avait été reproché de ne pas avoir pu donner plus de pouvoir à Juninho, parti sans retour, en décembre 2021.

      La bonne deuxième partie de championnat cette saison, sous la houlette de Laurent Blanc, qui n’a pourtant pas manqué de pointer du doigt le comportement du public à plusieurs reprises, a ramené un peu de sérénité, mais le prochain exercice sera crucial.
      En effet, l’OL devra tirer les leçons et viser au moins le Top 5, voire l’une des quatre places attribuées pour l’édition 2024-2025 de la Ligue des champions. La confiance, étiolée, devra être restaurée. L’OL aura besoin de ses supporters, mais il lui faudra aussi une vraie équipe pour vibrer.

      Les premières actions du mercato marquent une rupture avec l’époque précédente, mais semblent susciter une certaine curiosité, et des sentiments plutôt positifs sur les réseaux sociaux. C’est déjà un bon (nouveau) point de départ.

      Et ailleurs en Europe ?

      Séville et Valence, respectivement 12e et 16e de Liga, Liverpool, Tottenham et Chelsea 5e, 8e et 12e en Premier League, Roma et Juventus 6e et 7e (ce dernier a écopé d’une pénalité de 10 points pour fraude comptable) en Serie A, ou Bayer Leverkusen 6e en Bundesliga… La liste des grandes institutions européennes qui souffrent cette saison est assez longue.
      Vu sous cet angle, l’OL peut être « rassuré ». Coincé au 7e place en Ligue 1 à l’issue de la saison 2022-2023, après avoir terminé en 8e un an plus tôt, le club lyonnais traversait certes une période compliquée, mais comme plusieurs autres de ses voisins.

      Cela ne veut pas dire l’accepter en se retranchant derrière la dure réalité des cycles. Car si l’OL peut se sentir moins seul sur la carte des ratés ou déclassés en Europe, le recul n’en est pas moins rude et mal vécu par les supporters.

      Il y aura peut-être une année sans, comme pour Liverpool cette saison, mais les Reds avaient réussi un parcours magnifique l’année précédente, digne de sa riche histoire : vainqueur de la Coupe et de la Coupe de la Ligue, 2e Finaliste de la Premier League et de la Ligue des champions.

      Incomparable pour l’OL qui vient de boucler 4 saisons hors du podium, avec deux fois 7e, une 8e et une 4e tout de même qui lui a permis en 2022 de disputer un quart de finale de la Ligue Europa.

      Sidney Govou : “L’activité principale de l’OL doit rester le football”

      Consultant pour notre journal, le septuple champion de France avec l’OL pose un regard sans concession sur l’évolution du club ces dernières années.
      Incisif mais souvent très juste, au moment de décrypter l’actualité de son club fétiche, Sidney Govou se souvient avoir écrit dans un tweet il y a un an ou deux qu’un joueur à haut potentiel préférait désormais signer à Rennes qu’à l’OL.

      « Ça avait provoqué un tollé, car les supporters lyonnais ne l’avaient pas reconnu, mais c’était une réalité. Lyon a certes encore l’image d’un grand club avec une vision globale, bien plus que Rennes, mais cela ne suffit plus. Plus encore qu’à Marseille, qui reste attractif pour les joueurs, l’OL doit avoir des résultats pour séduire et ne peut plus se fier uniquement à son nom, à son passé ».

      Une distance entre managers, joueurs et supporters

      L’ancien septuple champion de France sous les couleurs rouges et bleues connaît pourtant le poids de l’histoire du club et son évolution spectaculaire sous la présidence de Jean-Michel Aulas.
      « Les supporters lyonnais ne l’admettent pas, mais c’était une réalité. Lyon a certes toujours l’image d’un grand club avec une vue mondiale, beaucoup plus que Rennes, mais cela ne suffit plus. Plus encore qu’à Marseille, qui demeure attirant pour les joueurs, l’OL doit avoir des résultats pour séduire et ne peut plus seulement compter sur son nom, son passé
      J’admire ce qui a été fait à l’OL, mais le parcours du football n’a pas été à la hauteur ces dernières années, d’où la distance qui s’est créée entre les dirigeants, les joueurs et les supporters. On peut comprendre que le club ait eu d’autres priorités depuis un certain temps, avec la construction du stade, et tout ce qui s’est construit autour, avec le processus de vente aussi, qui a pris du temps, mais il faudra qu’il revienne vite, car L’activité principale de l’OL doit rester le football », conclut-il".

      1. Avatar
        Olyonn@is-le pollueur - lun 10 Juil 23 à 11 h 06

        Quel pavé !!

        Mais c'était intéressant.😉

  10. Avatar
    Polygone - dim 9 Juil 23 à 15 h 43

    Avant toute chose, il faut savoir si on va jouer en 4-3-3 en exilant cherki sur un côté, ou en 4-2-3-1 en laissant Tolisso, caqueret et cherki ( ce qui est très faible en terme de puissance, de taille...)
    Sans compter el arouch
    Après on pourra voir si on garde kadewere ou pas.
    Ca fera 4 joueurs ( laca, kadewere, cherki , Sarr) pour 2 places.
    Mais si dès le début on considère kadewere doublure de barcola, c est un très mauvaise idée.
    Il nous faut un 3e véritable ailier derrière barcola et jeffinho.

    1. Avatar
      Olyonn@is-le pollueur - lun 10 Juil 23 à 11 h 05

      Quel pâté !!

      Mais c'était intéressant.😉

  11. Avatar
    Jeanbouininflateral - dim 9 Juil 23 à 18 h 26

    pour moi les réponses au fait que l'OL soit moins bon et moins attractif que par le passé sont

    le grand stade a financer
    le fait que l'académie soit plus sur le même site que les pros

    et le départ de certains encadrants qui ont été mal remplacés

    le club va devoir faire avec peu de moyens jusqu'à que le stade soit payé ( je connais pas l'échéance du prêt)
    après ça ira peut être mieux

    concernant kdr
    j'y crois pas c'est une arnaque ( une de +)
    à la flo Maurice dont on paye encore les conséquences

  12. ITSGONE
    ITSGONE - dim 9 Juil 23 à 18 h 27

    https://www.youtube.com/watch?v=KWwd2ApW7so
    Petit rappel de l'efficacité d'un tino en confiance.

    Perso, je dis oui pour le garder ! le relancer petit à petit, en remplacement. Barcola a mis du temps à s'imposer, Tino a déjà montré qu'il avait le talent.

  13. Avatar
    Fab - dim 9 Juil 23 à 20 h 46

    Je serai pour que l'OL le garde car Laurent Blanc est capable de lui redonner confiance et en confiance, il peut être très intéressant.

  14. OL-91
    OL-91 - dim 9 Juil 23 à 20 h 58

    Vive Tino !

  15. JUNi DU 36
    JUNi DU 36 - dim 9 Juil 23 à 21 h 06

    C'est un bon joueur, on a pu le constater plusieurs fois.
    Dommage que l'article a oublié de préciser tous les déboires que ce garçon à eu 👎
    Plusieurs membres de sa famille décédés, le covid assez fort, et des problèmes musculaires très gênant et difficile à soigner.Vraiment dommage d'oublier tout ça.
    Vous aussi O&L vous voulez comme certains supporteurs des robots qui n'ont jamais aucun problème ?

    Allons voyons donnons à ce ptit gars là chance de jouer et de continuer à montrer ce qu'il sait faire.

    Merci ITSGONE pour la vidéo 👍

  16. Juni38
    Juninho Pernambucano - dim 9 Juil 23 à 21 h 26

    un bon joueur , oui , mais de Ligue 2 ( idem pour Sarr ) .
    Désolé mais c'est mon avis et je le partage avec moi même .

    1. JUNi DU 36
      JUNi DU 36 - dim 9 Juil 23 à 21 h 39

      Pas de soucis Juni 🍻

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