En marge du choc contre le PSG, Michael Gerlinger a fait un état des lieux de la situation à l’OL. Si le mercato approche à grand pas, le directeur général a rappelé que la situation lyonnaise restait précaire.
Dimanche soir, tout l’état-major de l’OL se félicitait du visage montré par le groupe de Paulo Fonseca dans la défaite 3-2 contre le PSG. Il y avait forcément la frustration d’une troisième rencontre sans succès en Ligue 1 ainsi que des décisions arbitrales contre la formation rhodanienne, mais voir l’OL tenir tête aux champions de France et d’Europe était source de satisfaction. Car les moyens ne sont plus les mêmes entre les deux clubs, que la qualité intrinsèque laissait penser à une démonstration parisienne. Il n’y a rien eu de cela à Décines.
Néanmoins, l’élan sportif ne doit pas faire oublier la situation rhodanienne. En garde-fou, Michael Gerlinger a joué son rôle de directeur général en marge du choc de la 12e journée. "Sur une échelle de 1 à 10 du danger pour l'OL cet été, c'était 11, a-t-il d'abord lancé sur Ligue 1+. C'était extrêmement dangereux. On est très content d'être là aujourd'hui, en Ligue 1, et de jouer le PSG. Mais on a toujours beaucoup de choses à faire. C'est toujours une situation difficile mais on est très content de ce qu'on a fait cet été. Sportivement, financièrement, on est sur le bon chemin."
"Une vente de Fofana n'a jamais été sur la table pour janvier"
Le report de la publication des comptes annuels 2024-2025 a quelque peu jeté un froid ces dernières semaines, mais a aussi rappelé à quel point la situation de l’OL restait précaire. Michele Kang et certains partenaires ont beau avoir sauvé le club, tout ne rentrera pas dans l’ordre en un claquement de doigts. Les vestiges et casseroles de John Textor sont encore bien présents et il faudra quelques années avant de revenir à une situation presque normale. D’ici là, il faudra se serrer la ceinture. Le mercato hivernal ne sera pas celui des dépenses inconsidérées, d’autant plus qu’il faudra attendre la décision de la DNCG lors de l’examen de mi-saison.
Si l’on parle d’une arrivée d’Endrick, Gerlinger a fermé la porte à un départ de Malick Fofana en janvier. "Je l'avais dit en septembre, la vente de Malick Fofana n'a jamais été sur la table pour janvier. On verra ce qu'il se passe sur les prochaines semaines, a poursuivi le DG de l’OL. Financièrement ça ne va pas super bien donc il faut voir ce qu'on peut faire. Mais ce ne sera pas des transferts comme Malick Fofana, bien sûr que non." Mais des départs, il y en aura certainement encore quelques uns cet hiver…
On a déjà pas un banc terrible , alors le rétrécir ça présage a une fin de championnat difficile....
Des ventes pour l'achat de Endrick ? mais qui ? ceux qui sont en prêt ? Comprendre que le Réal se contentera du prix d'un croissant, faut pas les prendre pour des jambons...........
Le message est clair : n'espérez (rien) aucune folie lors du mercato hivernal.
Il parle de départ cet hiver
Franchement je suis inquiet pour la première fois depuis la reprise du club
Avec tous ce qu’on a vendu ??
Le peu d’achat et surtout qu’ils on avoué avoir échouer à acheter un joueur mais qu’ils avaient garder une enveloppe pour Janvier
Du coup plus d’enveloppe et en plus faudrait vendre
Mais vendre qui ?????
À part Fofana qui est pas à vendre
Qui ???
Mais posez lui les bonnes questions à ce monsieur
On arrive à faire des miracles avec rien
Ils se gargarisaient en disant qu’ils avaient même trop vendu mais que ct le prix à payer pour être assurer d’être au top financièrement à la fin de saison
Mais la carrément il parle du mercato d’hiver
Une moyenne de plus de 50 000 personnes au stade
3 victoire sur 4 matchs en Europa league
Des contrats de sponsors au top
Plus de 130 millions de ventes de joueurs avec bonus
Même eu écho que les droits tv seraient au dessus des estimations prévus
Alors qu’on nous explique le problème
« Mais des départs, il y en aura certainement encore quelques-uns cet hiver… »
étant placée après les guillemets, elle n’appartient pas aux propos de Michael Gerlinger.
C’est donc une interprétation ou une projection de l'auteur de l'article, une manière d’introduire une nuance ou d’exprimer une hypothèse fondée sur le contexte de l’entretien.
Pour ma part, j'en déduis, que, malgré la volonté de ne pas vendre les cadres comme Fofana, des départs “moins stratégiques” ou “économiquement nécessaires” peuvent être fait en janvier.