Lundi, à 19 heures, l’équipe de Tant qu’il y aura des Gones est au rendez-vous. Au menu, la défaite de l'OL contre Lens et les espoirs (presque) envolés de Ligue des champions, ainsi que la situation critique à venir hors terrain.
L'ambiance sera bien plus maussade que la semaine passée sur le plateau de "Tant qu'il y aura des Gones". Une semaine après l'emballement suite à la victoire contre Rennes, c'est un tout autre sentiment qui va rythmer l'heure d'émission en compagnie des dirigeants de l'Entente Sportive de Saint-Priest. Au lendemain de la défaite contre le RC Lens (1-2), l'OL a très certainement dit adieux à ses rêves de Ligue des champions, même s'il reste un infime espoir.
Quel avenir pour le club lyonnais ?
C'est la soupe à la grimace aussi bien dans l'équipe de TKYDG qu'au sein même du club alors que se profile la fin de saison. Cette fin d'exercice ressemble à celle de tous les dangers puisque la manne financière qu'offre la Ligue des champions va clairement manquer au moment de se présenter face à la DNCG. Un vide que John Textor peut combler ? Pour répondre à une partie de cette question économique, Vincent Claudel, fondateur de l'Observatoire du sport business, interviendra en visio.
Comme vous en avez l’habitude désormais, votre émission est à suivre en direct tous les lundis à partir de 19 heures sur toutes nos plateformes : Youtube, Facebook, Twitch, Twitter, Lyon Capitale TV, Dailymotion.
au moins on est tombé sur une équipe de lens qui ne joue plus rien mais qui s’est donné à fond ! un certain club en France devrait en prendre de la graine
a l’image de tolisso qui n’y croyait plus et qui est sorti sans prévenir . ce n’est pas normal
No future
No future
No future for Textor dream !
https://www.youtube.com/watch?v=RvMxqcgBhWQ
Excellente émission
L'économiste invité, très intéressant et il est plutôt un peu rassurant ...
La meilleure hypothèse serait la reprise par ARES ou recapitalisation, des ventes ...
Le milan AC a vécu la même situation, espérons la même issue pour l'OL
En un sens Ares n'a pas le choix: sauver le club pour le revendre avec une perte partielle, ou couper la branche et tout perdre. Le stade a une forte valeur en tant que bien immobilier, mais sans son club c'est un navire en cale sèche.