Mercredi dernier, lors de Paris FC - OL, Abner a précipité l'improbable scénario du match en étant exclu à l'heure de jeu. Pour Olympique-et-Lyonnais, il est revenu sur cette première dans sa carrière.
Voilà une rencontre dont il se souviendra. Et dont tout le monde se souviendra d'ailleurs. Tranquillement en tête avec une marge confortable (0-3), l'OL se dirigeait vers le podium de la Ligue 1 en dominant le Paris FC à l'extérieur mercredi dernier. Mais alors que Pavel Šulc venait d'inscrire un joli deuxième but personnel juste avant l'heure de jeu, Abner a réalisé une intervention inutile et spectaculaire sur Ilan Kebbal.
Exclu pour ce geste, le Brésilien était pour expulsé pour la première fois depuis ses débuts professionnels. Auprès d'Olympique-et-Lyonnais, il s'est confié sur cette action, reconnaissant son erreur. "Ce n'est pas une bonne chose, mais c'est la vie. C'est une première dans ma carrière, mais il faut le prendre comme un apprentissage, a-t-il déclaré. Le tout sera de bien réagir après ça. La partie était difficile pour nous après ce fait de jeu qui a changé le match."
Probable titulaire contre le Real Betis
Car suite à ce carton rouge, les Parisiens sont revenus rapidement à 3-1 quelques minutes plus tard. Eux aussi ont terminé à 10 après le deuxième avertissement donné à Thibault De Smet (67e). Malgré ce rééquilibrage des débats, c'est bien le PFC qui a recollé (77e) puis égalisé (84e) dans une confrontation devenue complètement folle (3-3).
S'il n'est évidemment pas le seul responsable de cette désillusion, Abner* prend sa part de responsabilité dans ce résultat décevant au vu du scénario. Ce jeudi (21 heures), il retrouvera le groupe lyonnais pour aller défier le Real Betis. Un retour dans son ancien club que le latéral gauche pourrait fêter avec une titularisation.
*À paraître ce mercredi sur Olympique-et-Lyonnais, une interview exclusive du défenseur brésilien
Avec David Hernandez

"Ç'a changé ..."
Ca veut dire quoi cet orthographe ?
CetTE orthographe?
Sinon, oui, pour un titre d'article en plus, c'est assez catastrophique 🙂 !
Une faute de frappe, sûrement (un "a" oublié)
Il n'y a pas de relecteur-correcteur?
Bonsoir,
https://www.academie-francaise.fr/ca-ete-pour-ca-ete
Bonsoir Gwendal, et merci pour cette précision qui justifie l'orthographe du titre de l'article. Pour autant, comme l'écrit Juni38, il faut bien convenir que cette élision n'est plus pratiquée et sonne très mal à l'oreille aujourd'hui.
Et pour ma part, je viens de découvrir qu'elle existe encore et n'est pas considérée comme "fautive".
En ce qui me concerne, dans un langage "soutenu", j'utiliserai plutôt "cela a été", puisque "ça" est déjà en réalité une contraction de "cela", même s'il y a quelques nuances aujourd'hui.
En effet OF , et j'ai également découvert que cette élision était encore pratiquée aujourd'hui .
En poésie probablement .
C'est vrai que l'OL , c'est tout un poème , elle est donc de circonstance ! lol
L'expression « ç'a été » est correcte en français, mais elle est devenue rare et est principalement employée dans un registre littéraire ou poétique. Il s'agit d'une contraction de « ça a été » par élision, qui consiste à supprimer la voyelle du pronom pour éviter un hiatus, mais cette forme est quasiment disparue à l'oral comme à l'écrit moderne, où l'on préfère « ça a été » dans le langage courant.
Voici ce qu'il faut retenir :
« ça a été » est la forme standard recommandée à l'écrit et à l'oral.
« ç'a été » est correct, mais rare et réservé à un style littéraire ou soutenu aujourd'hui.
« ça été » sans auxiliaire est incorrect en français standard.
En résumé : oui, « ç'a été » est du français correct, mais son usage est très limité et vieillir ; on lui préfère « ça a été » dans la langue contemporaine.
Ceci dit, ce n'est pas une faute d'où la réponse de Gwendal.
C'est vrai. Pour cette fois, Gwendal n'a pas fauté 🙂 !
Razik joue son rôle de gardien du Temple !
Arrêtez de chipoter ! 😜
Salut Dede Passion 69!
"Chipoter" voilà un verbe qui sonne curieusement, même si c'est entre potes auvergnats 😜 (Ah! la potée! )...
ici souvent nous chipotons et nous supputons !