Plus de 15 ans après le 8e de finale de Ligue des champions entre le Real Madrid et l'OL, Manuel Pellegrini retrouvera le club lyonnais jeudi. Aujourd'hui coach du Real Betis, il s'attend un adversaire "très physique".
À 72 ans, Manuel Pellegrini est toujours là. Entraîneur à la très longue et riche carrière, il a entamé au haut niveau en 1988 du côté du Chili. Ayant fréquenté aussi l'Argentine, l'Angleterre, la Chine et l'Espagne, le technicien est aujourd'hui sur le banc du Real Betis. Jeudi, celui que l'on surnomme El Ingeniero retrouvera l'OL, plus de quinze ans après sa seule confrontation avec les Rhodaniens.
Deux rencontres l'ont opposé à l'Olympique lyonnais, et quelles affiches ! Il était à la tête du Real Madrid et s'avançait comme favori lors du 8e de finale de la Ligue des champions en février-mars 2010. Mais ce sont bien les coéquipiers de Cris, César Delgado ou encore Lisandro López qui sont sortis vainqueurs de ce duel. Une victoire 1-0 à l'aller grâce à Jean II Makoun, puis un nul 1-1 à Bernabéu avec un but de Miralem Pjanić.
L'OL, "une formation de qualité"
Une élimination précoce qui coûtera son poste au Chilien. Plusieurs années après ce mémorable duel, il sera sur le banc le 6 novembre face au Paulo Fonseca. Avant la partie, il a évoqué succinctement sur futur adversaire. "C'est une équipe très physique qui a bien commencé la saison en championnat et en compétition européenne, malgré un léger fléchissement ces derniers temps, a-t-il relevé. Il nous faudra réaliser une grande prestation face à une formation de qualité pour obtenir un résultat positif."
À la tête des Sévillans depuis plus de cinq ans maintenant, Manuel Pellegrini propulse actuellement le Real Betis à la cinquième place en Liga. C'est un peu plus mitigé en ce début de Ligue Europa (un succès et deux nuls, seizième). Une certaine pression pèsera donc sur les épaules des Espagnols jeudi, surtout à domicile, dans l'optique d'une qualification dans le top 8.

Bonjour tout le monde, me revoilà (oh nooon) !
Une victoire, deux nuls et deux défaites en championnat depuis un mois jour pour jour, on peut effectivement désigner ça comme "un léger fléchissement" par rapport à notre début de saison... si l'on aime les euphémismes.
Il risque d'être revanchard même si ça fait longtemps 🤔
C'est un de nos rares exploits contre les équipes Espagnoles.
Les Anglais et les Espagnols c'est largement au-dessus il faut des exploits pour les battre.
Même si on reste un club résolument Européen et qu'on a fait de belles choses, là c'est le 5ième de liga, qui reste sur 4 victoires un nul, ça va être chauchaud les amis... Surtout qu'on a le néant en attaque, j'en démords pas, contre une équipe qui sait défendre Sulc c'est léger léger en 9...
Les Allemands (hormis Bayern qui est à part) et les Italiens par contre, même pas peur, eux ils sont en général trop sûrs d'eux quand ils nous affrontent et se prennent un mur.
J'ai hâte de voir cette opposition, mais je suis encore moins confiant que d'habitude (c'est dire!).
Semaine difficile pour l'OL, je n'y place aucune ambition de résultat ni contre le Betis ni contre le QSG.
Mais le foot c'est le foot, c'est parfois 'souvent, non tout le temps !) de gros coups de chatte...Alors pourquoi pas ? 😆
Ah le but de Jean II Makoun à Gerland coté virage Nord, pas prêt de l'oublier ! 😀
Les BG non plus ,qui exceptionnellement ,ont été obligés de lui faire une ovation.
Ce doit être la seule qu'il ait connue chez nous ! 😜
Pas vraiment apprécié à l'époque, heureusement que je n'étais pas encore sur le forum...😇
Salut DDP69 ha ouais si tu savais... déjà j'étais en mode isolé sur le forum... J'aimais beaucoup son sens du placement, sa qualité athlétique et technique dans les petits espaces. Et son jeu de tête aussi.
C'était d'ailleurs pareil pour Pjanic, il n'a été apprécié qu'à partir de ce but, sinon ça ralait car monsieur marchait trop soi disant....
je sais pas pourquoi personne ne voulait voir, ou en tout cas apprécier, les qualités de ces joueurs.
LE pire c'est Keita, il faisait trembler tous nos adversaires mais nous quand il sortait c'était hourra hourra...
Des fois j'ai l'impression de venir d'une autre planète je te jure. Inconstant oui c'est clair, mais parfois c'était George Weah le mec!
On a eu quand même de sacré footballeur pour faire autant la fine bouche !
C'est donc l'occasion d'aborder l'équipe lyonnaise avec une agressivité bien sentie.