Victorieux respectivement de Dijon et du Paris FC, l'OL et le PSG se retrouveront en finale de la Première Ligue. Rendez-vous vendredi à 21 heures.
La Première Ligue fête la deuxième année de sa nouvelle version avec la phase finale. Et comme lors de l'exercice 2023-2024, la conclusion du championnat de France féminin se jouera lors d'un OL - PSG, encore une fois au stade de Décines. Une confrontation plus ou moins attendue, puisque les deux équipes ont achevé la saison régulière en tête du classement.
Les deux mastodontes du football hexagonal ont aisément franchi le piège des demi-finales dimanche. Dans l'après-midi, l'Olympique lyonnais a disposé de Dijon, surprise du top 4, sur le score de 4 à 1. Un peu plus tard dans la soirée, le derby parisien a tourné à l'avantage des joueuses de Paulo Cesar, entraîneur intérimaire suite à la mise à pied de Fabrice Abriel (3-0). Une belle réponse après la défaite en finale de la Coupe de France contre ce même adversaire.
L'OL reste sur cinq victoires contre le PSG
Pas vraiment de suspense donc lors de ces affiches. Les supporters présents au Parc OL vendredi 16 mai (21 heures) assisteront peut-être à une rencontre plus indécise. Néanmoins, les Fenotes ont gagné les cinq précédentes confrontations face aux Parisiennes. En janvier, elles avaient dominé le PSG 2 à 0 à l'extérieur, s'ouvrant la voie vers le siège de leader. En finale l'an dernier, les Lyonnaises s'étaient imposées 2 à 1 avec des buts de Delphine Cascarino et Kadidiatou Diani. Tabitha Chawinga, aujourd'hui dans l'autre camp, avait réduit l'écart en fin de partie.
Favorites, les coéquipières de Wendie Renard chercheront à valider leur mainmise sur la compétition d'un bout à l'autre de l'exercice. Dans le cas contraire, elles signeraient une saison blanche, comme en 2021. De quoi ajouter un peu de pression à ce duel entre Rhodaniennes et Franciliennes.
Méfiance...la courbe des performances des 2 équipes semblent se rapprocher et hier soir elles ont donné une leçon au PFC avec vitesse et réalisme . Les fenottes devront être au mieux pour l'emporter et Joe devra effectuer des choix tactiques pertinents et une préparation mentale autre que celle d'Arsenal.
Mentale ? si tu te rappelles bien de la conférence de presse de Joë avant le match d'Arsenal , il disait que les filles étaient prêtes......on a vu ! si un coach te dit ça en connaissant parfaitement ses filles et que ça foire , faut chercher ailleurs le non match .
On peut imaginer qu'ayant battu X fois les parisiennes on va venir la fleur au fusil ......gare ! dès les premières minutes les qatariennes peuvent faire douter les notres et de là les cartes peuvent être redistribuées . On aura intérêt a avoir beaucoup rigueur a chaque poste , peut importe qui sera choisi , on a des joueuses a peu près d'égale valeur .
J'ai quand même un faible pour Amel et sa diversité a produire du jeu dans la surface .
A se demander s'il ne faudrait pas également des playoffs tant le QSG domine le championnat
on a compris que Monte de mes deux ne s’interesse pas aux joueuses en devenir et aux anciennes. Seules les internationnales comptent à ses yeux quelques soient leurs data . Alors pour cette finale , allez vite à fourviere , bruler un cierge pour que la compo soit coherante et equilibrée.
maintenant le match des qsg ne m’a pas semblé hyper positif . c’est plus le pfc qui a été approcimatif et en voulant revenir à la marque , elles ont été punies ….
Plutôt d'accord, le PFC est complètement passé à côté de son match. Côté PSG, seule Leuchter était au niveau, Albert n'a pas été bonne malgré son but, idem pour Karchaoui qui cache une performance bien médiocre par un but. Rien de tout cela ne fait peur, honnêtement...
Si l'on perd contre ce PSG la, Montemurro pourra définitivement être érigé comme pire entraîneur de l'histoire de l'OL. Pour moi, il l'est déjà, et il n'y a rien de positif à ressortir de cette "parenthèse" australienne.
Bien évidemment je leurs souhaite de vaincre, simplement vu leur niveau d'équipe actuel, je crains vraiment, la saison blanche. Le même syndrome que les garçons...MU et ARSENAL, mêmes effets. J'espère me tromper.🙏
Je suis dans le même état d'esprit, malgré ma confiance habituelle car, après avoir vu les deux matchs de 1/2 et les derniers, en WCL et championnat, des Fenottes, je suis sceptique/dubitatif !
Je partage vos doutes sur nore niveau actuel face à l'adversité surtout si le début de match n'est pas convaincant.
La préparation mentale n'est visiblement pas le fort de Joe en dépit de ses déclarations d'avant arsenal...sinon comment expliquer la faillite du match retour à la maison ? Quand on constate les errements de Vanessa durant ce match; elle pourtant habituellement irréprochable dans l'etat d'esprit et l'engagement ?
Je suis convaincu que Joe n'a jamais ete l'homme de la sitution et que l'insuffisance ( pour être gentil ) de son management a précipité le doute dans l'esprit de l'équipe et amené les joueuses à douter de leur avenir.
La gestion d'Ada enfin est hératique. Je doute que quelqu'un puisse en expliquer la logique.
Elles ont déjà montré qu'elles savent jouer au ballon et se le transmettre à une seule touche de balle comme par exemple le second but de Melchie à Arsenal, mais le problème majeur est qu'il n'y a pas de stratégie claire et que le placement sur le terrain est souvent du n'importe quoi. Le résultat est qu'elles doivent se chercher, ce qui ralentit beaucoup le jeu mais elles s'en sortent souvent grâce à une technique individuelle indiscutable. C'est l'énorme différence avec par exemple le Barça où les joueuses trouvent toujours une partenaire parce qu'elles ont appris à se démarquer rapidement, ce qui leur permet de faire tourner le ballon sans prendre de coups. Ce sont des automatismes qui sont longs à mettre en place et qui demandent un entraînement spécifique, mais l'Australien n'a jamais rien fait chez nous dans ce sens. Celui qui l'a choisi aurait mieux fait de voir du côté de l'ancien entraineur du Barça qui était disponible.
+69 JackP .
Mobilité et vivacité ne sont pas le point fort de l'équipe mais les principes de jeu de Joe ignorent la réalité du foot moderne qui exigent engagement et déplacement.